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Homonyme

Variantes Singulier Pluriel
Masculin homonyme homonymes

Définitions de « homonyme »

Trésor de la Langue Française informatisé

HOMONYME, subst. masc. et adj.

I. − Adj. et subst. masc.
A. − LING. (Mot, signifiant) qui a une prononciation et/ou une graphie identique à celle d'un autre mais un signifié différent. Homonyme homophone, homonyme homographe. Il y avait dans ce système graphique près de cinq cents graphèmes; mais comme la langue abondait en monosyllabes et en homonymes, il fallut avoir recours à d'autres méthodes de représentation pour éviter l'ambiguïté et la confusion (Langage, Alarcos-Llorach, 1968, p. 531) :
Les formes présentant cette relation [d'homonymie] sont dites homonymes. Ex. : coq, coque, coke. L'homonymie peut dépasser le niveau du mot : elle est alors utilisée pour les jeux de mots ou calembours et les rimes : bohémien/beau et mien; d'août/doux (Aragon). Mounin1974.
Jeux d'homonymes. Jeux de mots, calembours basés sur l'homonymie exacte ou approchée de certains mots. Tout en jouant à quelque jeu de devinette ou d'homonymes, nous remontions la rue de Tournon (Gide, Si le grain,1924, p. 355).
P. anal. (Événements, impressions) présentant des concordances, des similitudes. Synon. homologue.Mais Augustin se rendit vite compte de la différence immense entre les émotions ordinaires et leurs homonymes de la musique, et qu'il fallait changer le sens de ce dernier mot : sérénité (Malègue, Augustin, t. 2, 1933, p. 190).Même en réservant le caractère « interne » des faits psychiques, on peut y reconnaître, comme en physique ou en physiologie, des classes de phénomènes homonymes dont la succession est régulière (Lalande, Raison et normes,1948, p. 80).
B. − (Personne(s)) portant le même nom (qu'une autre, que d'autres) en dehors de tout lien de parenté. Rarement écrivain fut-il, à ses débuts, plus éloigné de lui-même. Il avait choisi son homonyme, Jean-Baptiste Rousseau, pour son maître. Il s'essayait dans les jeux poétiques à la mode (Guéhenno, Jean-Jacques,1948, p. 66).Si les résultats des recherches prouvent que la famille était connue anciennement dans une province, on pourra tenter de la rattacher à une famille homonyme dont la généalogie existe (L'Hist. et ses méth.,1961, p. 735).
II. − Adj., BIOL., PATHOL. ,,Se dit en pathologie de troubles ou lésions localisés symétriquement par rapport à la ligne médiane du corps`` (Méd. Biol. t. 2 1971).
Prononc. et Orth. : [ɔmɔnim]. Att. ds Ac. dep. 1762. Étymol. et Hist. I. 1. 1534 « personne(s), ville(s) ... portant le même nom (qu'une autre, que d'autres) » (Guillaume Michel, Antiquitez des Juifz, 165 vods Delb. Notes mss : Philippus ... ediffia aussi Bethsaïde ... et l'appella Julie homonyme de la fille de César); 2. a) subst. 1572 gramm. (A. du Verdier, Les Omonines ds Rec. poés. françaises, éd. A. de Montaiglon, t. 3, p. 97); b) adj. 1616 gramm. (Besly, Extrait d'une lettre ds Œuvres d'Alain Chartier, éd. A. Duchesne Tourangeau, 1 vo); II. 1866 biol. C. F. Monnoyer, Annales d'Oculistique, t. LV, p. 245). Empr. au lat.homonymus « de même prononciation, mais de sens différent (des mots) », lui-même empr. au gr. ο ̔ μ ω ́ ν υ μ ο ς « qui porte le même nom, qui emploie la même dénomination ». Fréq. abs. littér. : 32. Bbg. Heger (K.). Homographie, Homonymie und Polysemie. Z. rom. Philol. 1963, t. 79, pp. 471-489.

Wiktionnaire

Adjectif - français

homonyme \ɔ.mɔ.nim\ masculin et féminin identiques

  1. (Linguistique) Qui se prononce ou s’écrit de façon identique, mais diffère par le sens. Note : Dans le premier cas, on parle d’homophone, dans le second, d’homographe.
    • Le genre Dufourea Ach, a eu le défaut d’être homonyme d’un Dufourea Bory désignant des phanérogames, et, lichénologiquement, celui d’être mal défini ; en effet, sa synonymie nous donne les espèces suivantes : […]. — (M. Choisy, Le genre Dactylina Nyl. et ses affinités, dans le Bulletin mensuel de la Société linnéenne de Lyon, 1957, volume 26, n° 4, page 99)

Nom commun - français

homonyme \ɔ.mɔ.nim\ masculin (féminin s’il désigne une personne de sexe féminin; voir la définition 4)

  1. (Linguistique) Mot identique par la prononciation (homophone) ou par la graphie (homographe), à un autre de sens différent.
    • Ce mot a pour homonyme tel autre mot.
    • Dictionnaire des homonymes.
  2. (En particulier) (Plus courant) Mot homophone. Mot identique par la prononciation.
    • Homonymes simples : vers, vert, ver et verre.
    • Les homonymes sont des mots qui ont (du moins ordinairement) une seule prononciation et plusieurs orthographes. […] Les homographes, au contraire, sont des mots qui ont plusieurs prononciations et une seule orthographe. — (F. Dégardin, Les homonymes et les homographes de la langue française, 1857, p. 5)
  3. (En particulier) (Moins courant) Mot homophonographe. Mot identique par la prononciation et par la graphie.
    • Des homonymes sont des termes de graphie et de prononciation identiques (Exemple : la ferme du village, il ferme la porte). Il est quelquefois difficile de déterminer si deux termes sont homonymiques ou s’il s’agit de deux acceptions différentes d’un même terme polysémique, l’étymologie ne permettant pas toujours de se prononcer avec certitude (Exemple : profession de foi et profession médicale, ou tour de taille, tour de main et tour [à mon]). En outre, chez de nombreux auteurs, la distinction entre homonymes et homophones n’est pas claire ; ainsi, Guiraud tend à qualifier d’homonymiques des termes qui sont en réalité homophoniques. Quant aux termes dont la graphie est identique, mais pas la prononciation (comme le fils du maire et les fils du tissu, ou les poules du couvent couvent), ce sont des homographes. — (Jacqueline Henry, La traduction des jeux de mots, 2003, ISBN 9782878542486, page 25)
  4. Personne portant le même nom qu’une autre.
    • Je ne parle pas de Nicolas mais de son homonyme.
    • Elle fut ensuite rendue à son père, mais n’eut garde apparemment d’imiter sa belle homonyme de Nérac, qui, séduite par le prince béarnais, puis abandonnée, se noya de désespoir dans la Baïse. — (Casimir Barrière-Flavy, La Chronique criminelle d’une grande province sous Louis XIV, Éditions Occitania, Paris, 1926 → lire en ligne)
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Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition (1932-1935)

HOMONYME. adj. des deux genres
. T. de Grammaire. Mots homonymes, Qui ont la même forme ou le même son, mais désignent des êtres ou des choses différentes. Canon (d'une armée) et Canon (de la messe) sont homonymes. Les différentes choses exprimées par le mot Canon sont homonymes. Mule, animal, et Mule, chaussure, sont homonymes, sont des mots, des termes homonymes. Il se dit aussi comme nom masculin. Ce mot a pour homonyme tel autre mot. Dictionnaire des homonymes. Il se dit quelquefois des Personnes qui portent le même nom, sans être parentes. Il ne faut pas confondre cet auteur avec son homonyme.

Littré (1872-1877)

HOMONYME (o-mo-ni-m') adj.
  • 1Qui a même nom.

    Substantivement. Il se dit de ceux qui portent le même nom. Il est votre homonyme.

  • 2 Terme de grammaire. Mots homonymes, mots qui se prononcent de même, bien que l'orthographe ou l'origine du mot diffèrent. Chêne et chaîne sont homonymes ainsi que Saintes ville de France, et saintes dans saintes femmes.

    Rime homonyme, rime des mots homonymes.

    S. m. Un traité d'homonymes. Les Homonymes de Poitevin.

HISTORIQUE

XVe s. Ces quatre vers homonymes ou leonins, pour parler avec le vulgaire, Chartier, Hist. de Charl. VI et Charl. VII, p. 1, dans LACURNE.

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Encyclopédie, 1re édition (1751)

HOMONYME, adj. (Gramm.) ὁμόνομος, de même nom ; racines, ὁμὸς, semblable, & ὄνομα, nom. Ce terme grec d’origine, étoit rendu en latin par les mots univocus, ou æquivocus, que j’employerois volontiers à distinguer deux especes différentes d’homonymes, qu’il est à propos de ne pas confondre, si l’on veut prendre de ce terme une idée juste & précise.

J’appellerois donc homonyme univoque tout mot qui, sans aucun changement dans le matériel, est destiné par l’usage à diverses significations propres, & dont par conséquent le sens actuel dépend toûjours des circonstances où il est employé. Tel est en latin le nom de taurus, qui quelquefois signifie l’animal domestique que nous appellons taureau, & d’autres fois une grande chaîne de montagnes située en Asie. Tel est aussi en françois le mot coin, qui signifie une sorte de fruit, malum cydonium ; un angle, angulus ; un instrument à fendre le bois, cuneus ; la matrice ou l’instrument avec quoi l’on marque la monnoie ou les médailles, typus.

J’ai dit diverses significations propres, parce que l’on ne doit pas regarder un mot comme homonyme, quoiqu’il signifie une chose dans le sens propre, & une autre dans le sens figuré. Ainsi le mot voix n’est point homonyme, quoiqu’il ait diverses significations dans le sens propre & dans le sens figuré : dans le sens propre, il signifie le son qui sort de la bouche ; dans le figuré, il signifie quelquefois un sentiment intérieur, une sorte d’inspiration, comme quand on dit la voix de la conscience, & d’autres fois, un suffrage, un avis, comme quand on dit, qu’il vaudroit mieux peser les voix que de les compter.

J’appellerois homonymes équivoques, des mots qui n’ont entre eux que des différences très-légeres, ou dans la prononciation, ou dans l’orthographe, ou même dans l’une & dans l’autre, quoiqu’ils aient des significations totalement différentes. Par exemple, les mots voler, latrocinari, & voler, volare, ne different entre eux que par la prononciation ; la syllabe vo est longue dans le premier, & breve dans le second ; vōler, vŏler. Les mots ceint, cinctus ; sain, sanus ; saint, sanctus ; sein, sinus ; & seing, chirographum, ne different entre eux que par l’ortographe. Enfin les mots tâche, pensum, & tache, macula, different entre eux, & par la prononciation & par l’orthographe.

L’idée commune à ces deux especes d’homonymes est donc la pluralité des sens avec de la ressemblance dans le matériel : leurs caracteres spécifiques se tirent de cette ressemblance même. Si elle est totale & identique, les mots homonymes sont alors indiscernables quant à leur matériel ; c’est un même & unique mot, una vox ; & c’est pour cela que je les distingue des autres par la dénomination d’univoques. Si la ressemblance n’est que partielle & approchée, il n’y a plus unité dans le matériel des homonymes, chacun a son mot propre, mais ces mots ont entre eux une relation de parité, æquæ voces ; & de-là la dénomination d’équivoques, pour distinguer cette seconde espece.

Dans le premier cas, un mot est homonyme absolument, & indépendamment de toute comparaison avec d’autres mots, parce que c’est identiquement le même matériel qui désigne des sens différens : dans le second cas, les mots ne sont homonymes que relativement, parce que les sens différens sont désignés par des mots qui, malgré leur ressemblance, ont pourtant entre eux des différences, légeres à la vérité, mais réelles.

L’usage des homonymes de la premiere espece, exige que dans la suite d’un raisonnement, on attache constamment au même mot le même sens qu’on lui a d’abord supposé ; parce qu’à coup sûr, ce qui convient à l’un des sens ne convient pas à l’autre, par la raison même de leur différence, & que dans l’une des deux acceptions, on avanceroit une proposition fausse, qui deviendroit peut-être ensuite la source d’une infinité d’erreurs.

L’usage des homonymes de la seconde espece exige de l’exactitude dans la prononciation & dans l’orthographe, afin qu’on ne présente pas par mal-adresse un sens louche ou même ridicule, en faisant entendre ou voir un mot pour un autre qui en approche. C’est sur-tout dans cette distinction délicate de sons approchés, que consiste la grande difficulté de la prononciation de la langue chinoise pour les étrangers. Walton, d’après Alvarès Semedo, nous apprend que les Chinois n’ont que 326 mots, tous monosyllables ; qu’ils ont cinq tons différens, selon lesquels un même mot signifie cinq choses différentes, ce qui multiplie les mots possibles de leur langue jusqu’à cinq fois 326, ou 1630 ; & que cependant il n’y en a d’usités que 1228.

On peut demander ici comment il est possible de concilier ce petit nombre de mots avec la quantité prodigieuse des caracteres chinois que l’on fait monter jusqu’à 80000. La réponse est facile. On sait que l’écriture chinoise est hyéroglyphique, que les caracteres y représentent les idées, & non pas les élémens de la voix, & qu’en conséquence elle est commune à plusieurs nations voisines de la Chine, quoiqu’elles parlent des langues différentes. Voyez Ecriture chinoise. Or quand on dit que les Chinois n’ont que 1228 mots significatifs, on ne parle que de l’idée individuelle qui caractérise chacun d’eux, & non pas de l’idée spécifique ou de l’idée accidentelle qui peut y être ajoûtée : toutes ces idées sont attachées à l’ordre de la construction usuelle ; & le même mot matériel est nom, adjectif verbe, &c. selon la place qu’il occupe dans l’ensemble de la phrase. (Rhétorique du P. Lamy, liv. I. ch. x.) Mais l’écriture devant offrir aux yeux toutes les idées comprises dans la signification totale d’un mot, l’idée individuelle & l’idée spécifique, l’idée fondamentale & l’idée accidentelle, l’idée principale & l’idée accessoire ; chaque mot primitif suppose nécessairement plusieurs caracteres, qui servent à en présenter l’idée individuelle sous tous les aspects exigés par les vûes de l’énonciation.

Quoi qu’il en soit, on sent à merveille que la diversité des cinq tons qui varient au même son, doit mettre dans cette langue une difficulté très-grande pour les étrangers qui ne sont point accoutumés à une modulation si délicate, & que leur oreille doit y sentir une sorte de monotonie rebutante, dont les naturels ne s’apperçoivent point, si même ils n’y trouvent pas quelque beauté. Ne trouvons-nous pas nous-mêmes de la grace à rapprocher quelquefois des homonymes équivoques, dont le choc occasionne un jeu de mots que les Rhéteurs ont unis au rang des figures, sous le nom de paronomase. Les Latins en faisoient encore plus d’usage que nous, amantes sunt amentes. Voyez Paronomase. « On doit éviter les jeux qui sont vuides de sens, dit M. du Marsais, (des tropes, part. III. artic. 7.) mais quand le sens subsiste indépendamment des jeux de mots, ils ne perdent rien de leur mérite ».

Il n’en est pas ainsi de ceux qui servent de fondement à ces pitoyables rébus dont on charge ordinairement les écrans, & qui ne sont qu’un abus puérile des homonymes. C’est connoître bien peu le prix du tems, que d’en perdre la moindre portion à composer ou à deviner des choses si misérables ; & j’ai peine à pardonner au P. Jouvency, d’avoir avancé dans un très-bon ouvrage (de ratione discendi & docendi), que les rébus expriment leur objet, non sine aliquo sale, & de les avoir indiqués comme pouvant servir aux exercices de la jeunesse : cette méprise, à mon gré, n’est pas assez réparée par un jugement plus sage qu’il en porte presque aussitôt en ces termes : hoc genus facilè in pueriles ineptias excidit.

Qu’il me soit permis, à l’occasion des homonymes, de mettre ici en remarque un principe qui trouvera ailleurs son application. C’est qu’il ne faut pas s’en rapporter uniquement au matériel d’un mot pour juger de quelle espece il est. On trouve en effet des homonymes qui sont tantôt d’une espece & tantôt d’une autre, selon les différentes significations dont ils se revêtent dans les diverses occurrences. Par exemple, si est conjonction quand on dit, si vous voulez ; il est adverbe quand on dit, vous parlez si bien ; il est nom lorsqu’en termes de musique, on dit un si cadencé. En est quelquefois préposition, parler en maître ; d’autres fois il est adverbe, nous en arrivons. Tout est nom dans cette phrase, le tout est plus grand que sa partie ; il est adjectif dans celle-ci, tout homme est menteur ; il est adverbe dans cette troisieme, je suis tout surpris.

C’est donc sur-tout dans leur signification qu’il faut examiner les mots pour en bien juger ; & l’on ne doit en fixer les especes que par les différences spécifiques qui en déterminent les services réels. Si l’on doit, dans ce cas, quelque attention au matériel des mots, c’est pour en observer les différentes métamorphoses, qui ne sont toutes que la nature sous diverses formes ; car plus un objet montre de faces différentes, plus il est accessible à nos lumieres. Voyez Mot. (B. E. R. M.)

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Étymologie de « homonyme »

Ὁμώνυμος, de ὁμὸς, semblable, et ὄνυμα, nom.

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(Date à préciser) Du latin homonymus, emprunté au grec ancien ὁμώνυμος, homonymos formé de ὁμός, homos (« semblable ») et de ὄνομα, onoma (« nom »).
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Phonétique du mot « homonyme »

Mot Phonétique (Alphabet Phonétique International) Prononciation
homonyme ɔmɔnim

Citations contenant le mot « homonyme »

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  • En 1988, un député élu en Ille-et-Vilaine se nommait en effet Jean-Michel Boucheron, tandis qu'un parfait homonyme était député-maire d'Angoulême. Et si le premier était le choix de François Mitterrand pour le poste de secrétaire d'Etat aux collectivités locales dans le premier gouvernement de Michel Rocard, c'est le parfait second qui a été contacté... et donc nommé. CNEWS, Remaniement : Quand Matignon nommait le mauvais député au gouvernement | CNEWS
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Traductions du mot « homonyme »

Langue Traduction
Anglais namesake
Espagnol homónimo
Italien omonimo
Allemand namensvetter
Chinois 同名
Arabe الاسم نفسه
Portugais homônimo
Russe тезка
Japonais 同名の
Basque namesake
Corse nomi
Source : Google Translate API

Synonymes de « homonyme »

Source : synonymes de homonyme sur lebonsynonyme.fr

Antonymes de « homonyme »

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Homonyme

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